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TROUSSE BIKE RACING NEWS
Ce blog a pour but de vous faire partager notre passion et notre actualité .
Consultez le et n'hésitez pas à laisser votre avis .
dimanche 4 septembre 2011
jeudi 23 juin 2011
TRIATHLON DES SAPINS . KUBLISE 18et 19 juin
Superbe resultat pour notre Champion de France de duathlon longue distance:Patrice BIVILLE.Un podium sur ce superbe tri tres physique ,une tres bonne preparation pour le championnat de france a Dijon.La presence de Julien Loy champion du monde a ete remarque agreablement.
mardi 21 juin 2011
vendredi 10 juin 2011
jeudi 9 juin 2011
jeudi 26 mai 2011
vendredi 20 mai 2011
Hamilton accuse Armstrong
Jeudi soir sur la chaîne de télévision CBS, l’ancien équipier de Lance Armstrong chez US Postal a livré son témoignage : « J'ai vu (de l'EPO) dans son réfrigérateur. J'ai vu (Armstrong) se l'injecter, plus d'une fois, a précisé Tyler Hamilton. (S'injecter de l'EPO) Nous l'avons tous fait. Je l'ai fait, à de nombreuses reprises. Lui a pris ce que nous prenions tous. l'EPO... testostérone... transfusion sanguine ». Ces accusations font suite à celles de Floyd Landis qui a également reconnu avoir vu le septuple vainqueur du Tour de France recourir à des pratiques dopantes.
mardi 10 mai 2011
Le Giro endeuillé
Drame sur la 3e étape du Tour d’Italie. A 25 km de l’arrivée, Wouter Weylandt est lourdement tombé dans la descente du Passo del Bocco. Le coureur belge de l’équipe Leopard est décédé en fin d’après-midi des suites de ses blessures.
jeudi 28 avril 2011
Gilbert, et maintenant le Tour?
Marc Sergeant (son directeur sportif chez Omega Pharma-Lotto) : « Il veut écrire l’histoire »
« S’il continue à travailler, je ne sais pas jusqu’où il peut aller. Il veut écrire l’histoire avec une victoire dans le Tour et pourquoi pas un maillot jaune. C’est un rêve pour lui. Dans la première semaine, il y a au moins deux ou trois étapes qui peuvent lui convenir. Mais ça deviendra de plus en plus difficile car beaucoup de monde commence à être au courant.
Jeannot Gilbert (son père) : « Il ne peut pas gagner le Tour de France »
« Je crois qu’il peut prendre ce maillot jaune quelques jours. Ça serait magnifique. Il y a trois ans, il aurait pu l’avoir (ndlr : il a terminé deuxième derrière Alejandro Valverde lors de l’arrivée de la première étape à Plumelec). On en parle souvent ensemble. C’est un beau maillot. Il y tient. Mais qu’il gagne d’abord le maillot de champion de Belgique. En tout cas, il ne peut pas gagner le Tour de France. Il y a des cols trop durs pour lui. »
Cyrille Guimard (consultant RMC Sport et ancien directeur sportif) : « Jouer les trouble-fête »
« Il est peut-être un peu lourd (ndlr : 67 kg) pour jouer le classement général, mais pour jouer les trouble-fête, pourquoi pas. Mais c’est assez rare et exceptionnel des coureurs qui disent qu’ils ne font pas le Tour parce qu’ils ne le sentent pas. Vient-il pour faire des grands numéros ou pour répondre à son standing ? S’il y va parce qu’il a envie de gagner, il peut faire de très belles choses. »
Marc Madiot (son ancien directeur sportif à la Française des Jeux) : « Plus difficile sur le Tour »
« Il a un véritable sens de la course, un sens de l’opportunité. Il sait anticiper les évènements. Il peut gagner la plupart des grandes courses au monde. Ce n’est pas ce qui m’étonnerait le plus. Je pense qu’il ambitionne de gagner le Tour des Flandres, Milan-San Remo ou encore les Championnats du monde. Pour le Tour de France, ça sera plus difficile. »
Carlos Da Cruz (ex-coéquipier à la FDJ) : « Il ne voulait pas aller sur le Tour »
« Quand je l’ai connu, il ne voulait même pas aller sur le Tour de France. Il me disait ‘si je n’y vais pas, ce n’est pas grave, ce n’est pas une course qui m’intéresse’. Quand il a débuté, le Tour de France n’avait pas forcément une bonne réputation par rapport aux courses belges. Depuis, il en a gagnées plusieurs. Il se rend compte que c’est la plus belle course du monde et qu’on y vient pour gagner. Même s’il ne vient pas pour le général, gagner une ou deux étapes serait déjà bien. Il a la classe pour gagner des belles étapes. »
« S’il continue à travailler, je ne sais pas jusqu’où il peut aller. Il veut écrire l’histoire avec une victoire dans le Tour et pourquoi pas un maillot jaune. C’est un rêve pour lui. Dans la première semaine, il y a au moins deux ou trois étapes qui peuvent lui convenir. Mais ça deviendra de plus en plus difficile car beaucoup de monde commence à être au courant.
Jeannot Gilbert (son père) : « Il ne peut pas gagner le Tour de France »
« Je crois qu’il peut prendre ce maillot jaune quelques jours. Ça serait magnifique. Il y a trois ans, il aurait pu l’avoir (ndlr : il a terminé deuxième derrière Alejandro Valverde lors de l’arrivée de la première étape à Plumelec). On en parle souvent ensemble. C’est un beau maillot. Il y tient. Mais qu’il gagne d’abord le maillot de champion de Belgique. En tout cas, il ne peut pas gagner le Tour de France. Il y a des cols trop durs pour lui. »
Cyrille Guimard (consultant RMC Sport et ancien directeur sportif) : « Jouer les trouble-fête »
« Il est peut-être un peu lourd (ndlr : 67 kg) pour jouer le classement général, mais pour jouer les trouble-fête, pourquoi pas. Mais c’est assez rare et exceptionnel des coureurs qui disent qu’ils ne font pas le Tour parce qu’ils ne le sentent pas. Vient-il pour faire des grands numéros ou pour répondre à son standing ? S’il y va parce qu’il a envie de gagner, il peut faire de très belles choses. »
Marc Madiot (son ancien directeur sportif à la Française des Jeux) : « Plus difficile sur le Tour »
« Il a un véritable sens de la course, un sens de l’opportunité. Il sait anticiper les évènements. Il peut gagner la plupart des grandes courses au monde. Ce n’est pas ce qui m’étonnerait le plus. Je pense qu’il ambitionne de gagner le Tour des Flandres, Milan-San Remo ou encore les Championnats du monde. Pour le Tour de France, ça sera plus difficile. »
Carlos Da Cruz (ex-coéquipier à la FDJ) : « Il ne voulait pas aller sur le Tour »
« Quand je l’ai connu, il ne voulait même pas aller sur le Tour de France. Il me disait ‘si je n’y vais pas, ce n’est pas grave, ce n’est pas une course qui m’intéresse’. Quand il a débuté, le Tour de France n’avait pas forcément une bonne réputation par rapport aux courses belges. Depuis, il en a gagnées plusieurs. Il se rend compte que c’est la plus belle course du monde et qu’on y vient pour gagner. Même s’il ne vient pas pour le général, gagner une ou deux étapes serait déjà bien. Il a la classe pour gagner des belles étapes. »
Affaire Contador
Alors qu’il est en reconnaissance ces jours-ci sur le parcours du Giro, Alberto Contador, mis en cause dans une affaire de dopage présumé au Clenbutérol sur le dernier Tour, vient de renforcer sa défense en vue du sprint final. Le Tribunal arbitral du sport qui doit trancher dans le conflit qui oppose le coureur et sa Fédération à l’Union cycliste internationale et à l’Agence mondiale antidopage annonce mercredi que le triple vainqueur du Tour et la RFEC ont choisi l’expert Ulrich Haas dans le panel tripartite qui prononcera le jugement définitif dans cette affaire.
L’Allemand est un des arbitres du TAS les plus recherchés pour traiter des cas de dopage. En juin 2010, ce professeur exerçant à Zurich avait donné raison à deux médaillés olympiques des Jeux de Pékin, les lanceurs de marteau Belarusses Vadim Devyatovskiy et Ivan Tsikhan condamnés par le CIO pour dopage (testostérone), en invoquant un vice de forme dans la procédure d’analyse et de conservation des prélèvements au laboratoire chinois.
Un avocat de haut vol rejoint Contador
Haas, également impliqué dans la condamnation du coureur espagnol Alejandro Valverde (suspendu 2 ans dans le cadre de l’affaire Puerto), a eu l’occasion de travailler avec l’avocat anglais Mike Morgan dans la cadre de l’affaire des deux lanceurs Bélarusses. Morgan, du cabinet londonien Squire, Sanders & Dempsey, est récemment parvenu à blanchir la judokate chinoise Wen Tong, condamnée pour dopage au Clenbutérol par la Fédération internationale de judo, en raison d’une erreur de procédure de la FIJ.
Sans réelle surprise et selon nos informations, Morgan a rejoint Haas parmi les plus fins connaisseurs du droit du sport sollicités par Contador, déjà défendu par l'Espagnol Andy Ramos et le Belge Jean-Louis Dupont. Les deux hommes vont tenter de faire pencher la balance en faveur de leur illustre client face aux deux autres arbitres choisis par le tandem UCI-AMA (le Suisse Quentin Byrne-Sutton) et par le TAS (l’Israélien Efraim Barak qui exercera en tant que président du panel). Avec une audience escomptée d’ici la fin mai, la décision est attendue pour la fin du mois de juin. C'est-à-dire juste à temps pour voir le leader Saxo-Bank défendre son maillot jaune sur le 98e Tour de France (2-24 juillet).
L’Allemand est un des arbitres du TAS les plus recherchés pour traiter des cas de dopage. En juin 2010, ce professeur exerçant à Zurich avait donné raison à deux médaillés olympiques des Jeux de Pékin, les lanceurs de marteau Belarusses Vadim Devyatovskiy et Ivan Tsikhan condamnés par le CIO pour dopage (testostérone), en invoquant un vice de forme dans la procédure d’analyse et de conservation des prélèvements au laboratoire chinois.
Un avocat de haut vol rejoint Contador
Haas, également impliqué dans la condamnation du coureur espagnol Alejandro Valverde (suspendu 2 ans dans le cadre de l’affaire Puerto), a eu l’occasion de travailler avec l’avocat anglais Mike Morgan dans la cadre de l’affaire des deux lanceurs Bélarusses. Morgan, du cabinet londonien Squire, Sanders & Dempsey, est récemment parvenu à blanchir la judokate chinoise Wen Tong, condamnée pour dopage au Clenbutérol par la Fédération internationale de judo, en raison d’une erreur de procédure de la FIJ.
Sans réelle surprise et selon nos informations, Morgan a rejoint Haas parmi les plus fins connaisseurs du droit du sport sollicités par Contador, déjà défendu par l'Espagnol Andy Ramos et le Belge Jean-Louis Dupont. Les deux hommes vont tenter de faire pencher la balance en faveur de leur illustre client face aux deux autres arbitres choisis par le tandem UCI-AMA (le Suisse Quentin Byrne-Sutton) et par le TAS (l’Israélien Efraim Barak qui exercera en tant que président du panel). Avec une audience escomptée d’ici la fin mai, la décision est attendue pour la fin du mois de juin. C'est-à-dire juste à temps pour voir le leader Saxo-Bank défendre son maillot jaune sur le 98e Tour de France (2-24 juillet).
mardi 26 avril 2011
TOUR DE FRANCE 2011
Les 21 étapes :
1) Passage du Gois - Mont des Alouettes
2) Les Essarts - Les Essarts (clm par équipes - 23 km)
3) Olonnes-sur-Mer - Redon
4) Lorient - Mûr-de-Bretagne
5) Carhaix - Cap Fréhel
6) Dinan - Lisieux
7) Le Mans - Châteauroux
8) Aigurande - Super Besse
9) Issoire - Saint-Flour
10) Aurillac - Carmaux
11) Blayes-les-Mines - Lavaur
12) Cugnaux - Luz Ardiden
13) Pau - Lourdes
14) Saint-Gaudens - Plateau de Beille
15) Limoux - Montpellier
16) Saint-Paul-Trois-Châteaux - Gap
17) Gap - Pinerolo
18) Pinerolo - Galibier-Serre Chevalier
19) Modane - Alpe d'Huez
20) Grenoble - Grenoble (clm individuel - 41 km)
21) Créteil - Paris - Champs-Elysées
1) Passage du Gois - Mont des Alouettes
2) Les Essarts - Les Essarts (clm par équipes - 23 km)
3) Olonnes-sur-Mer - Redon
4) Lorient - Mûr-de-Bretagne
5) Carhaix - Cap Fréhel
6) Dinan - Lisieux
7) Le Mans - Châteauroux
8) Aigurande - Super Besse
9) Issoire - Saint-Flour
10) Aurillac - Carmaux
11) Blayes-les-Mines - Lavaur
12) Cugnaux - Luz Ardiden
13) Pau - Lourdes
14) Saint-Gaudens - Plateau de Beille
15) Limoux - Montpellier
16) Saint-Paul-Trois-Châteaux - Gap
17) Gap - Pinerolo
18) Pinerolo - Galibier-Serre Chevalier
19) Modane - Alpe d'Huez
20) Grenoble - Grenoble (clm individuel - 41 km)
21) Créteil - Paris - Champs-Elysées
Le Grand Chelem de Gilbert
Le Grand Chelem de Gilbert
Philippe Gilbert achève son chef d'oeuvre ardennais, avec une victoire souveraine dans Liège-Bastogne-Liège. Le Belge a surclassé au sprint ses compagnons d'échappée, Frank et Andy Schleck.
Philippe Gilbert devant les frères Schleck. (REUT)
Philippe Gilbert devant les frères Schleck. (REUT)
Un an après les huées qui avaient accompagné la dernière ligne droite de Vinokourov, c'est un cri d'enthousiasme qui a soulevé Liège et traversé les Ardennes dimanche après-midi, accompagnant le triomphe de Philippe Gilbert sur la Doyenne des Classiques. Dans une Wallonnie baignée par le soleil, le leader d'Omega Pharma a semblé irrésistible, fêté depuis le départ comme si sa victoire dans Liège-Bastogne-Liège et son Grand Chelem ardennais étaient inévitables. «Dès la descente du bus, il y avait un monde incroyable», a-t-il reconnu après avoir franchi l'arrivée. Le coureur n'a pas gâché cette ambiance de fête nationale , en surclassant la concurrence dans une course qu'il connaît sur le bout des pédales et qui lui tient à coeur comme nulle autre.
Au-delà du triplé ardennais, on peut même parler de quadruplé pour Philippe Gilbert qui avait dominé la Flèche Brabançonne il y a 11 jours.
Le puncheur belge a été le seul à pouvoir suivre les frères Schleck quand Andy est parti à l'abordage au pied de la Roche aux Faucons, à 22 km de l'arrivée, laissant la foule des autres favoris au ralenti et le tenant du titre Alexandre Vinokourov à l'arrêt avec un problème mécanique. Le trio de favoris s'est ensuite débarrassé des échappés qui avaient anticipé les grands mouvements : tour à tour, l'Italien Enrico Gasparotto (Astana), le Français Jérôme Pineau (Quick Step) et le Belge Greg Van Avermaet (BMC) ont dû se relever, les cuisses asphyxiées. Gilbert a facilement éteint les velléités luxembourgeoises dans la côte de Saint-Nicolas, se permettant même de mettre les gaz au sommet pour mettre Andy Schleck dans le rouge. Sa route triomphale s'est terminée par un sprint dominé facilement face à deux grimpeurs en manque de puissance, Frank (2e) et Andy (3e). Il rejoint ainsi Davide Rebellin, le seul jusque-là à avoir réussi le triplé ardennais, en laissant une impression rare de facilité : à chaque fois, il a eu le temps de profiter de sa victoire avant la ligne.
Philippe Gilbert achève son chef d'oeuvre ardennais, avec une victoire souveraine dans Liège-Bastogne-Liège. Le Belge a surclassé au sprint ses compagnons d'échappée, Frank et Andy Schleck.
Philippe Gilbert devant les frères Schleck. (REUT)
Philippe Gilbert devant les frères Schleck. (REUT)
Un an après les huées qui avaient accompagné la dernière ligne droite de Vinokourov, c'est un cri d'enthousiasme qui a soulevé Liège et traversé les Ardennes dimanche après-midi, accompagnant le triomphe de Philippe Gilbert sur la Doyenne des Classiques. Dans une Wallonnie baignée par le soleil, le leader d'Omega Pharma a semblé irrésistible, fêté depuis le départ comme si sa victoire dans Liège-Bastogne-Liège et son Grand Chelem ardennais étaient inévitables. «Dès la descente du bus, il y avait un monde incroyable», a-t-il reconnu après avoir franchi l'arrivée. Le coureur n'a pas gâché cette ambiance de fête nationale , en surclassant la concurrence dans une course qu'il connaît sur le bout des pédales et qui lui tient à coeur comme nulle autre.
Au-delà du triplé ardennais, on peut même parler de quadruplé pour Philippe Gilbert qui avait dominé la Flèche Brabançonne il y a 11 jours.
Le puncheur belge a été le seul à pouvoir suivre les frères Schleck quand Andy est parti à l'abordage au pied de la Roche aux Faucons, à 22 km de l'arrivée, laissant la foule des autres favoris au ralenti et le tenant du titre Alexandre Vinokourov à l'arrêt avec un problème mécanique. Le trio de favoris s'est ensuite débarrassé des échappés qui avaient anticipé les grands mouvements : tour à tour, l'Italien Enrico Gasparotto (Astana), le Français Jérôme Pineau (Quick Step) et le Belge Greg Van Avermaet (BMC) ont dû se relever, les cuisses asphyxiées. Gilbert a facilement éteint les velléités luxembourgeoises dans la côte de Saint-Nicolas, se permettant même de mettre les gaz au sommet pour mettre Andy Schleck dans le rouge. Sa route triomphale s'est terminée par un sprint dominé facilement face à deux grimpeurs en manque de puissance, Frank (2e) et Andy (3e). Il rejoint ainsi Davide Rebellin, le seul jusque-là à avoir réussi le triplé ardennais, en laissant une impression rare de facilité : à chaque fois, il a eu le temps de profiter de sa victoire avant la ligne.
vendredi 22 avril 2011
lundi 11 avril 2011
Un Paris-Roubaix pas comme les autres
Si la 109e édition de Paris-Roubaix a réservé une grosse surprise dimanche en consacrant un outsider, cette édition 2011 disputée sous le soleil n'a pas été avare en rebondissements. Avec ses moments de détresse, comme celui de Tom Boonen livré à lui-même dans Arenberg ou celui de Chavanel après sa chute, mais aussi son final haletant, avec Van Summeren, qui est parvenu à résister au retour de Cancellara.
Sans doute l'image de cette 109e édition de Paris-Roubaix. Triple vainqueur de l'épreuve, en lice pour égaler le record de Roger De Vlaeminck, lauréat à quatre reprises, Tom Boonen rêvait de prendre sa revanche sur Fabian Cancellara, ce qu'il n'était pas parvenu à faire sur le Tour des Flandres. Mais le leader de la Quick Step a pardu tout espoir à un peu plus de 80 kilomètres de l'arrivée, dans la Trouée d'Arenberg. Victime d'un ennui mécanique dans le mythique secteur pavé, le Belge était contraint à l'arrêt en plein milieu de la chaussée, alors que le peloton défilait devant lui. Ce n'est qu'après de longues minutes qu'il fut dépanné par un mécanicien de sa formation et put repartir. Mais, alors qu'il était en chasse pour recoller le peloton, Boonen était victime d'une chute qui mettait définitivement fin à tous ses espoirs. Il abandonnait même à 55 kilomètres de l'arrivée.
Sylvain Chavanel à terre
Boonen au tapis, la Quick Step fondait désormais tous ses espoirs sur Sylvain Chavanel, déjà auteur d'un véritable numéro la semaine dernière sur le Ronde. Mais, au grand dam de Patrick Lefévère, le Français, déjà victime d'une crevaison quelques minutes plus tôt, chutait lourdement dans la traversée d'Orchies, à une soixantaine de kilomètres de l'arrivée. Marqué, le natif de Châtellerault s'arrachait toutefois pour revenir aux avant-postes. Mais il était déjà trop tard et il avait gaspillé trop d'énergie pour espérer se mêler à la lutte finale. Il devait finalement se contenter de la 38e place à 4'46'' du vainqueur.
L'attaque de Johan Van Summeren dans le Carrefour de l'Arbre
Personne ou presque n'aurait misé sur Johan Van Summeren comme vainqueur potentiel de ce Paris-Roubaix 2011. Pourtant, c'est bien le longiligne flamand qui est arrivé seul en tête sur le Vélodrome et s'est offert, à 30 ans, le plus beau succès de sa carrière. Poisson-pilote du leader de la Garmin-Cervelo Thor Hushovd avec qui il avait reconnu le parcours, sous la houlette d'un ancien vainqueur Peter Van Petegem, titré en 2003, ce solide rouleur a su saisir sa chance au bon moment. "J'avais fait un repérage jeudi dernier du Carrefour de l'Arbre et Jonathan Vaughters (son directeur sportif) n'arrêtait pas de me dire dans l'oreillette : 'Attends le Carrefour de l'Arbre, attends le Carrefour de l'Arbre !' Ça m'a souri. J'ai attaqué", confiait-il après coup. Une attaque à un endroit stratégique, où la victoire dans l'Enfer du Nord s'est souvent jouée, qu'il a toutefois su bien préparer. Aux avant-postes dès que la course s'est durcie, le Belge a su déjouer tous les pièges pour faire la différence au moment opportun et résister au retour de Fabian Cancellara.
Le baroud d'honneur de Cancellara
Vexé par sa contreperformance sur le Tour des Flandres, le Suisse avait à coeur de conserver son titre sur Paris-Roubaix. Mais il n'en a pas eu les moyens. Moins impressionnant que l'an dernier, le Suisse a également souffert de la tactique terriblement frileuse de ses principaux rivaux, (Ballan, Flecha, Hushovd) qui ne l'ont jamais lâché plutôt que de jouer leur carte personnelle. Le coureur de la Léopard-Trek, qui a également manqué de soutien de la part de ses coéquipiers, a pourtant beaucoup tenté en plaçant plusieurs accélérations, notamment sur les secteurs de Mons-en-Pévèle et Pont-Thibaut. Serré de près, "Spartacus" tentait un dernier baroud d'honneur dans le final, à 2,5 km de la ligne, pour tenter de fondre sur Van Summeren, mais trop tard. Allongé sur la pelouse du vélodrome à l'arrivée durant de longues minutes, le rouleur helvète a tout donné, mais termine sur la deuxième marche du podium, comme en 2008.
Sans doute l'image de cette 109e édition de Paris-Roubaix. Triple vainqueur de l'épreuve, en lice pour égaler le record de Roger De Vlaeminck, lauréat à quatre reprises, Tom Boonen rêvait de prendre sa revanche sur Fabian Cancellara, ce qu'il n'était pas parvenu à faire sur le Tour des Flandres. Mais le leader de la Quick Step a pardu tout espoir à un peu plus de 80 kilomètres de l'arrivée, dans la Trouée d'Arenberg. Victime d'un ennui mécanique dans le mythique secteur pavé, le Belge était contraint à l'arrêt en plein milieu de la chaussée, alors que le peloton défilait devant lui. Ce n'est qu'après de longues minutes qu'il fut dépanné par un mécanicien de sa formation et put repartir. Mais, alors qu'il était en chasse pour recoller le peloton, Boonen était victime d'une chute qui mettait définitivement fin à tous ses espoirs. Il abandonnait même à 55 kilomètres de l'arrivée.
Sylvain Chavanel à terre
Boonen au tapis, la Quick Step fondait désormais tous ses espoirs sur Sylvain Chavanel, déjà auteur d'un véritable numéro la semaine dernière sur le Ronde. Mais, au grand dam de Patrick Lefévère, le Français, déjà victime d'une crevaison quelques minutes plus tôt, chutait lourdement dans la traversée d'Orchies, à une soixantaine de kilomètres de l'arrivée. Marqué, le natif de Châtellerault s'arrachait toutefois pour revenir aux avant-postes. Mais il était déjà trop tard et il avait gaspillé trop d'énergie pour espérer se mêler à la lutte finale. Il devait finalement se contenter de la 38e place à 4'46'' du vainqueur.
L'attaque de Johan Van Summeren dans le Carrefour de l'Arbre
Personne ou presque n'aurait misé sur Johan Van Summeren comme vainqueur potentiel de ce Paris-Roubaix 2011. Pourtant, c'est bien le longiligne flamand qui est arrivé seul en tête sur le Vélodrome et s'est offert, à 30 ans, le plus beau succès de sa carrière. Poisson-pilote du leader de la Garmin-Cervelo Thor Hushovd avec qui il avait reconnu le parcours, sous la houlette d'un ancien vainqueur Peter Van Petegem, titré en 2003, ce solide rouleur a su saisir sa chance au bon moment. "J'avais fait un repérage jeudi dernier du Carrefour de l'Arbre et Jonathan Vaughters (son directeur sportif) n'arrêtait pas de me dire dans l'oreillette : 'Attends le Carrefour de l'Arbre, attends le Carrefour de l'Arbre !' Ça m'a souri. J'ai attaqué", confiait-il après coup. Une attaque à un endroit stratégique, où la victoire dans l'Enfer du Nord s'est souvent jouée, qu'il a toutefois su bien préparer. Aux avant-postes dès que la course s'est durcie, le Belge a su déjouer tous les pièges pour faire la différence au moment opportun et résister au retour de Fabian Cancellara.
Le baroud d'honneur de Cancellara
Vexé par sa contreperformance sur le Tour des Flandres, le Suisse avait à coeur de conserver son titre sur Paris-Roubaix. Mais il n'en a pas eu les moyens. Moins impressionnant que l'an dernier, le Suisse a également souffert de la tactique terriblement frileuse de ses principaux rivaux, (Ballan, Flecha, Hushovd) qui ne l'ont jamais lâché plutôt que de jouer leur carte personnelle. Le coureur de la Léopard-Trek, qui a également manqué de soutien de la part de ses coéquipiers, a pourtant beaucoup tenté en plaçant plusieurs accélérations, notamment sur les secteurs de Mons-en-Pévèle et Pont-Thibaut. Serré de près, "Spartacus" tentait un dernier baroud d'honneur dans le final, à 2,5 km de la ligne, pour tenter de fondre sur Van Summeren, mais trop tard. Allongé sur la pelouse du vélodrome à l'arrivée durant de longues minutes, le rouleur helvète a tout donné, mais termine sur la deuxième marche du podium, comme en 2008.
mardi 5 avril 2011
jeudi 31 mars 2011
Saison VTT 2011 : le comité Rhône-Alpes innove pour les jeunes
Tout est parti d’un constat : « Même si certains athlètes comme Cédric Ravanel, Guillaume Vinit, Thibaut et Vivien Legastelois ou d’autres coureurs ont pu tirer leur épingle du jeu au niveau national, les résultats dans les plus jeunes catégories restaient tendres ». Julien Thollet, CTS Rhône Alpes depuis 2005, a décidé d’innover. Depuis fin 2010, neuf crosseurs dans la catégorie Juniors et quatre descendeurs en catégorie Cadets bénéficient officiellement d’un accompagnement local : «Nous avons mis en place un soutien tout d’abord au niveau de l’entrainement avec Olivier Maignan, Philippe Cambres, Saison VTT 2011 : le comité Rhône-Alpes innove pour les jeunesFrancis Dujardin et moi-même. Thibault Legastelois les suit sur la diététique et Virginie Jacob effectue un suivi sur la préparation mentale. Du côté de la descente, les stages programmés seront encadrés par Alex Bastien, Alex Balaud et Francis Dujardin. L’objectif est de combler les vides en mettant à dispositions de nos jeunes prometteurs des personnes compétentes et familières au milieu du VTT ». Soutenu par la région Rhône-Alpes, ce projet ne devra pas bousculer l’organisation des teams dont sont issus certains pilotes. « Avec mon passé de coureur routier, j’ai pu voir ce qui ce faisait pour les jeunes en cyclo-cross, en piste et en route. Avoir un œil extérieur a certainement permis de déceler les lacunes des jeunes au niveau régional. C’est pourquoi je suis régulièrement en relation avec Yvon Vauchez (sélectionneur national) et Yvan Clolus (sélectionneur Juniors) pour leur demander leur avis sur les actions à mettre en place. Les crosseurs sont d’ailleurs inscrits pour participer à la Flèche Ardèchoise (09 & 10 avril) sous les couleurs du maillot Rhône-Alpes et les descendeurs participeront à la descente de Remiremont (1er mai) après avoir effectué un stage dans les Vosges ». Le « XC et DH Performance » de la région Rhône-Alpes ou le début de brillantes carrières ? Réponses dans quelques années …
mardi 29 mars 2011
L’équipe de France de cyclisme sur piste a conclu les championnats du monde d’Apeldoorn (Pays-Bas) avec les médailles de bronze de François Pervis dans le kilomètre et de Clara Sanchez en keirin. Avec un total de sept breloques dont deux en or, le camp tricolore tire un bilan satisfaisant.
« Je ne cours pas pour faire deuxième ou troisième. Ça ne me suffit plus. » François Pervis a le bronze amer. Ce métal, le Mayennais a pris l’habitude de l’avoir autour du cou. En 2006, 2009, 2010 et désormais 2011, toujours dans le kilomètre. Alors si sa cinquième médaille sur la scène mondiale récompense « sa régularité au plus haut niveau », il a pleinement conscience qu’il aurait pu se « retrouver à la place de Mickael d’Almeida », son compatriote échoué au pied d’un podium dominé par l’Allemand Stefan Nimke, Pervis a tout de même du mal à ravaler sa frustration. « Un Anglais m’a encore dit après la course : l’année prochaine, c’est toi. Mais tous les ans, j’entends ça. C’est rageant. »
La boule au ventre, Clara Sanchez l’avait également après sa médaille de bronze en keirin. Mais la Martégale, championne du monde de la discipline en 2004 et 2005 et vainqueur cette saison du classement général de la coupe du Monde, avait le verbe plus relatif. « Je suis déçu parce que j'étais venu pour gagner, confie l’intéressée, devancée par la Biélorusse Olga Panarina et l’Australienne Anna Meares. C'est tout de même une bonne chose de bien figurer dans une épreuve olympique à un peu plus d'un an des JO de Londres. »
Le même bilan qu’en 2010
Sanchez et Pervis en bronze, Pascale Jeuland 16e de l’omnium (sorte de décathlon regroupant six épreuves) et le duo Morgan Kneisky-Vivien Brisse 4e de la course à l’américaine, la France a conclu ses Mondiaux avec un total de sept médailles. Le deuxième meilleur bilan de la compétition derrière celui des ogres australiens (11). Le même que celui de Ballerup, au Danemark, l’année dernière. « Je ne suis pas euphorique devant ces résultats. Mais je ne suis pas non plus déçu, nuance la DTN Isabelle Gautheron. L'important c'est que nous ayons décroché trois médailles dont deux en or sur des disciplines qui sont au programme olympique. Au vue des performances, je pense que l'on est actuellement sur la bonne voie de l'objectif que l'on se donne pour ces JO : 4 médailles. »
Au préalable, il faudra réfléchir à la stratégie à mettre en place. Comme faire l’impasse sur les Mondiaux de Melbourne l’an prochain ? « On ne va peut-être pas reproduire le même schéma que ceux des précédentes années, pour arriver aux JO dans les meilleures dispositions et pour gagner, glisse l’entraîneur des sprinters Florian Rousseau. Peut-être qu’être moins bon sur un championnat du monde, ce n'est pas grave. Les Mondiaux reviennent tous les ans alors que les JO, c'est tous les 4 ans. Il va falloir réfléchir à ça. »
La boule au ventre, Clara Sanchez l’avait également après sa médaille de bronze en keirin. Mais la Martégale, championne du monde de la discipline en 2004 et 2005 et vainqueur cette saison du classement général de la coupe du Monde, avait le verbe plus relatif. « Je suis déçu parce que j'étais venu pour gagner, confie l’intéressée, devancée par la Biélorusse Olga Panarina et l’Australienne Anna Meares. C'est tout de même une bonne chose de bien figurer dans une épreuve olympique à un peu plus d'un an des JO de Londres. »
Le même bilan qu’en 2010
Sanchez et Pervis en bronze, Pascale Jeuland 16e de l’omnium (sorte de décathlon regroupant six épreuves) et le duo Morgan Kneisky-Vivien Brisse 4e de la course à l’américaine, la France a conclu ses Mondiaux avec un total de sept médailles. Le deuxième meilleur bilan de la compétition derrière celui des ogres australiens (11). Le même que celui de Ballerup, au Danemark, l’année dernière. « Je ne suis pas euphorique devant ces résultats. Mais je ne suis pas non plus déçu, nuance la DTN Isabelle Gautheron. L'important c'est que nous ayons décroché trois médailles dont deux en or sur des disciplines qui sont au programme olympique. Au vue des performances, je pense que l'on est actuellement sur la bonne voie de l'objectif que l'on se donne pour ces JO : 4 médailles. »
Au préalable, il faudra réfléchir à la stratégie à mettre en place. Comme faire l’impasse sur les Mondiaux de Melbourne l’an prochain ? « On ne va peut-être pas reproduire le même schéma que ceux des précédentes années, pour arriver aux JO dans les meilleures dispositions et pour gagner, glisse l’entraîneur des sprinters Florian Rousseau. Peut-être qu’être moins bon sur un championnat du monde, ce n'est pas grave. Les Mondiaux reviennent tous les ans alors que les JO, c'est tous les 4 ans. Il va falloir réfléchir à ça. »
vendredi 25 mars 2011
vendredi 11 mars 2011
mardi 8 mars 2011
dimanche 6 mars 2011
CALENDRIER UCI WORLD TOUR 2011
Liste des épreuves :
UPT Tour Down Under 18 au 23 janvier
HIS Paris-Nice 6 au 13 mars
HIS Tirreno-Adriatico 9 au 15 mars
HIS Milan-Sanremo 19 mars www
UPT Tour de Catalogne 21 au 27 mars
UPT Gand-Wevelgem 27 mars
UPT Tour des Flandres 3 avril
UPT Tour du Pays basque 4 au 9 avril
HIS Paris-Roubaix 10 avril
UPT Amstel Gold Race 17 avril
HIS La Flèche wallonne 20 avril
HIS Liège-Bastogne-Liège 24 avril
UPT Tour de Romandie 26 avril au 1e mai
HIS Tour d’Itaie 7 au 29 mai
UPT Critérium du Dauphiné 5 au 12 juin
UPT Tour de Suisse 11 au 19 juin
HIS Tour de France 2 au 24 juillet
UPT Clasica San Sebastian 30 juillet
UPT Tour de Pologne 42 juillet au 6 août
UPT Eneco Tour 8 au 14 août
HIS Tour d’Espagne 20 août au 11 septembre
UPT Vattenfall Cyclassics 21 août
UPT GP de Plouay 28 août
UPT GP de Québec 9 septembre
UPT GP de Montréal 11 septembre
CM Championnats du monde CLM 21 septembre
CM Championnats du monde en ligne 25 septembre
HIS Tour de Lombardie 15 octobre
UPT Tour Down Under 18 au 23 janvier
HIS Paris-Nice 6 au 13 mars
HIS Tirreno-Adriatico 9 au 15 mars
HIS Milan-Sanremo 19 mars www
UPT Tour de Catalogne 21 au 27 mars
UPT Gand-Wevelgem 27 mars
UPT Tour des Flandres 3 avril
UPT Tour du Pays basque 4 au 9 avril
HIS Paris-Roubaix 10 avril
UPT Amstel Gold Race 17 avril
HIS La Flèche wallonne 20 avril
HIS Liège-Bastogne-Liège 24 avril
UPT Tour de Romandie 26 avril au 1e mai
HIS Tour d’Itaie 7 au 29 mai
UPT Critérium du Dauphiné 5 au 12 juin
UPT Tour de Suisse 11 au 19 juin
HIS Tour de France 2 au 24 juillet
UPT Clasica San Sebastian 30 juillet
UPT Tour de Pologne 42 juillet au 6 août
UPT Eneco Tour 8 au 14 août
HIS Tour d’Espagne 20 août au 11 septembre
UPT Vattenfall Cyclassics 21 août
UPT GP de Plouay 28 août
UPT GP de Québec 9 septembre
UPT GP de Montréal 11 septembre
CM Championnats du monde CLM 21 septembre
CM Championnats du monde en ligne 25 septembre
HIS Tour de Lombardie 15 octobre
samedi 5 mars 2011
Tour de Murcie Première victoire pour Contador
Alberto Contador a remporté ce samedi sa première course de la saison. L’Espagnol du Team Saxo Bank-SunGard s’est imposé dans les montagnes de la deuxième étape du Tour de Murcie. Il en profite pour prendre les commandes du classement général avant le contre-la-montre de 12 kilomètres de dimanche.
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